UN COLLAGE DI DIVERSI ARTICOLI INTERNAZIONALI CHE DESCRIVONO LA SITUAZIONE POLITICA ITALIANA DI QUESTI GIORNI
Il paniquait les marchés, sapait la crédibilité de son pays. Il devait partir pour desserrer l'état dans lequel il enfonçait chaque jour un peu plus l'Italie. Au lendemain de l'annonce de la démission prochaine de Silvio Berlusconi de la présidence du conseil italien, les marchés ont pourtant été pris d'un nouvel accès de fièvre mercredi 9 novembre. Ainsi, les rendements des emprunts d'Etat italiens à dix ans se sont considérablement tendus, pulvérisant un nouveau record à 7,226 %, contre 6,742 % la veille, 5,907 % deux semaines plus tôt et 4,815 % le 1er janvier. 11/11/11 Le Monde
• Le départ de Berlusconi est désormais acté. Que peut-il se passer à la tête du pays?La démission de Berlusconi intervient alors que l'opposition est très divisée et ne propose pas d'alternative. Dans ces conditions, l'hypothèse d'un maintien au pouvoir pendant quelques mois de Berlusconi ou de ses alliés pour former un gouvernement de transition est probable. Même au sein de son parti, la succession ne sera pas facile. «Il va y avoir une lutte pour la succession et le mode de désignation», explique Hervé Rayner. «A droite, certains demandent des primaires pour désigner un candidat. Berlusconi avait déjà prévenu qu'il ne se représenterait pas en 2013. Cet été, il avait désigné Angelino Alfano comme son successeur, mais il est très jeune et donc mal accepté. C'est un homme qui lui doit tout. Comme la gauche est éclatée et qu'il y a un conflit au sein du parti de Berlusconi, il peut y avoir une crise sur la longue durée.» 10/11/11 Le Figaro
The main party to want elections is the separatist Northern League. Party officials said on Thursday that they would oppose a Monti government. "For us there is no alternative to early elections," Interior Minister and Northern League member Roberto Maroni said at a news conference, commenting on whether he would support a government led by Mr. Monti. 11/11/11 The Wall Street Journal
The main centre-left opposition party, the Democratic Party, and a group of centrist opposition parties all support the idea of a national unity government.Antonio Di Pietro, the leader of another centre-left party, Italy of Values (IdV), has said he would not be part of it, but may back individual pieces of legislation it proposes. 10/11/11 TripoliPost
El camino, pues, parece despejado, aunque no expedito. Nunca tratándose de Italia. Ya están surgiendo voces de peso, en el gobierno y en la oposición, que prefieren la convocatoria de elecciones a la formación del llamado gobierno técnico. Las más representativas, por el momento, son las del actual ministro del Interior, Roberto Maroni, miembro de la Liga Norte, el partido liderado por Umberto Bossi y que ha venido apoyando a Il Cavaliere. Maroni no se ha ido por las ramas: “Si el presidente de la República encarga formar gobierno a alguien, como Mario Monti, que no forma parte de la mayoría que salió victoriosa de las elecciones de 2008, la Liga no lo votará y pasará a la oposición”. 11/11/11 El Pàis
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